Ryuuzaki Ichigatsu

†|IDENTITE|†

[AVATAR]

†|Nom|†: Ichigatsu

†|Prénom(s)|†: Ryuuzaki

†|Age|†: 18 ans

†|Sexe|†: masculin

†|Orientation sexuelle|†: homosexuel soumis

†|Nationalité|†: japonais

†|Race|†: humain

†|Emploi: étudiant

†|DESCRIPTION|†

†|Histoire|†: Un soir glacial d’un mois de janvier. Nous sommes quelques jours après le nouvel an. La neige a couvert toute cette petite ville japonaise de son blanc manteau.

A l’intérieur, il fait chaud au coin du feu. Des rires d’enfants se font entendre partout dans cette grande demeure. Mais soudain, un tout petit cri. Puis, un autre. En tendant l’oreille plus attentivement, on se rend compte qu’il s’agit de pleurs. Se sont les pleurs d’un enfant en bas âge que l’on entend. Sans plus attendre, le personnel se précipite à la porte d’entrée. Là, ils découvrent un panier, à l’intérieur duquel, un bébé est emmitouflé dans une épaisse couverture. Le pauvre petit devait avoir faim et froid. Il fut amené à l’intérieur, où tous les enfants se réunirent autour du nouvel arrivé.

- Wouah ! Il est tout petit ! Comment on va l’appeler ?, demanda d’un air curieux l’un des enfants âgé seulement de sept ans.

- Je ne sais pas encore ! Nous devons y réfléchir ! Mais, allez donc au lit, c’est l’heure les enfants !

Aussitôt dit, aussitôt fait, les enfants, de tous âges, regagnèrent leur lit. Il ne restait que les adultes et ce petit enfant trouvé.

- Qu’allons-nous en faire, Mr. Le directeur ?

- Nous allons le garder, puisqu’ici, c’est un orphelinat.

Et c’est ainsi que le petit nouveau fut baptisé Ryuuzaki. Aucune lettre, aucun mot ne fut laissé avec le nouveau né, qui ne devait pas avoir plus de quelques semaines.

Ryuuzaki passa donc presque cinq ans dans cet orphelinat et y était très heureux. Il avait des amis avec lesquels il pouvait jouer et le personnel s’occupait bien de tous ses enfants oubliés de tous.

Un jour, un charmant couple qui ne pouvait avoir d’enfant passa le pas de l’orphelinat. Ils étaient très gentils et souriants, si bien que Ryuuzaki, d’habitude si timide, alla vers eux et se mit à leur parler. Bien entendu, il avait à peu près cinq ans, donc il ne dit rien de vraiment intéressant, mais cela suffit aux futurs parents pour tomber sous le charme de ce petit brun. Le jour-même, Ryuuzaki quitta l’orphelinat avec eux, non sans verser quelques larmes évidemment. Mais ce gros chagrin s’effaça aussitôt arrivé dans sa nouvelle maison. Elle était immense et Ryuu avait sa propre chambre. Ses parents n’étaient pas spécialement riches mais suffisamment aisé pour que Ryuuzaki ne manque de rien. Son père était ingénieur et sa mère, médecin dans le domaine psychiatrique.

Cette petite famille vécu quelques années dans le bonheur. Ryuuzaki était un enfant sage, avec un talent certain pour le dessin et la peinture ainsi qu’avec une imagination débordante. Enfin, c’était ce que ses parents pensaient au début. En effet, Ryuu, très habile de ses mains, passait le plus clair de son temps à tenter de reproduire sur toile ce qu’il voyait. Des couleurs s’échappant des êtres et des objets, telles des auras. Tous ses personnages ou objets avaient cette spécificité. Ses parents pensaient que c’était son côté « artiste » qui s’exprimait, pourtant Ryuu affirmait que c’était bien ce qu’il voyait. Devant l’insistance de leur enfant, les parents commencèrent à le prendre au sérieux et à s’interroger. La mère voulu lui faire passer des tests et le résultat les laissa sous le choc. Ryuuzaki souffre de psychose hallucinatoire chronique de stade élémentaire. Il s’avère que ce qu’il pense voir, toutes ses couleurs et ses formes, ne sont en fait que le fruit de son cerveau détraqué.

Bien évidemment cela ne changea pas l’amour qu’ils lui portaient. La mère de Ryuu lui trouva un traitement à base de pilules antidépressives, contre l’anxiété et d’autres drogues du même genre afin qu’il « guérisse ». En réalité, ce « traitement » ne fit pas grand-chose. Ryuuzaki avait toujours ses hallucinations, mais n’en parla plus. Par contre, cela le rendit quelque peu dépendant de ses « médicaments ». Mais cela n’inquiétait pas ses parents puisque c’est pour son « bien ».

Tout le monde continua de vivre comme si de rien n’était, comme si les médicaments de Ryuu avaient toujours été là. Ryuuzaki allait à l’école... Bon il n’avait pas beaucoup d’amis, puisque c’est un grand timide. De plus, il a toujours préféré se consacrer à ses toiles, plutôt qu’aux autres. Sans doute que ses hallucinations ne l’ont pas non plus aidé à s’intégrer. A l’école, il était toujours l’écart, trop sensible pour être avec les garçons, trop timide pour être avec les filles… Mais cela ne le préoccupait pas le moins du monde. Ryuuzaki étant un grand rêveur, préfère passer son temps à regarder la pluie tombée, ou allongé dans l’herbe…

Puis, il entendit parler d’un pensionnat où il pourrait perfectionner son art, la peinture. Ses parents l’y inscrire avec grand plaisir. Si Ryuuzaki avait trouvé sa voix dans la peinture, alors il fallait l’encourager !

†|Physique|†: Ryuuzaki est plutôt fin et élancé. Il fait 1,78m pour seulement 66kg. On pourrait croire qu'il ne mange pas à sa faim et pourtant ce n'est pas du tout le cas! Il adore la nourriture et a une préférence pour les sucreries. En le voyant manger, on vient toujours à se poser la même question: mais où met-il donc tout ce qu'il avale?! Ca... Et bien, c'est un mystère de la nature!

Il a les cheveux mi-longs noirs qu’il coiffe toujours en pétard, ou pas! Parfois, il n'a vraiment pas envie de faire d'efforts, donc il se passe juste la main dans ses cheveux le matin au réveil et puis c'est tout!

Le jeune homme a de grands yeux noirs qui sont assez mystérieux. Sa peau très blanche contraste avec ses yeux et ses cheveux mais ça lui va très bien. Il n'aime pas bronzer, d'ailleurs sa peau trop pâle ne lui permet pas. Il fait tout ce qu'il peut pour éviter de s'exposer de peur d'attraper de vilains coups de soleil. Sa peau est assez capricieuse. Elle marque très vite donc il fait bien attention à me pas se casser la figure bêtement par exemple.

Il a un joli sourire même s'il ne le montre pas souvent. De plus ses traits fins et androgynes. Il ne fait pas son âge et on pense souvent qu'il est plus jeune.

Sa démarche est nonchalante mais pourtant sensuelle, féline.

Ryuuzaki aime être à l'aise dans ses vêtements, alors il porte des jeans larges, des baggys, et des tee-shirts simples. Il n'aime pas trop se prendre la tête à faire du shopping, alors les vêtements simples ou basiques lui conviennent parfaitement.

Ryuuzaki aime les bijoux en tous genres: bagues, colliers, bracelets... tous en cuir ou acier! Par contre, il n'a aucun piercing ni tatouage. Il trouve ça beau mais uniquement sur les autres!

†|Caractère|†: Aux premiers abords, il est timide et renfermé, mais une fois qu'on le connaît, il devient sympathique et attentionné. Ryuuzaki est d’une nature calme, paisible, tranquille. Il peut se montrer naïf parfois. Il passe son temps à observer le monde en silence. A cause de ce qu'il voit, il a tendance à s’isoler. Certains le trouvent même bizarre, mais en réalité c’est juste un original. De plus, il est toujours franc et a une façon de dire les choses qui peut parfois gêner. Et oui malgré tout, il a du caractère. Bien sûr, il n'est pas du genre à créer des ennuies. Il n'aime pas aller à la confrontation, mais ne le laissa pas faire pour autant. Il déteste la violence et n'en use jamais. S'il a vraiment un souci avec quelqu'un, il va l'éviter par tous les moyens plutôt que d'aller lui casser la figure!

Il ne connaît pas grand chose aux relations sociales. Il peut être sympathique, jovial et souriant si on se donne la peine de discuter avec lui. Mais il ne fera pas le premier pas. Du coup, il n’a jamais eu de petits amis et est encore vierge. C’est un grand timide dans le fond qui a juste besoin d’être accepté tel qu’il est afin de s’extérioriser.

C'est aussi un doux rêveur qui a décidé de mettre sur toile le monde tel qu'il le voit. Bien entendu, il ne dit plus rien à ce sujet, ayant trop peur qu’on ne l’accepte pas à cause de sa « maladie ».

†|Aime/aime pas|†: Ryuuzaki aime les sucreries, la peinture, ses parents adoptifs, les gens sincères, les câlins et autres douceurs dans le même genre. Par contre, il déteste les mensonges même s’il est obligé d’en faire. Cependant, il n’y a recours uniquement lorsqu’il ne peut pas faire autrement. Il n’aime pas non plus l’éducation sportive et physique, la compétition, d’ailleurs, il n’en a pas l’esprit, et la sonnerie de son réveil le matin.

†|HORS-JEU|†

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